15 NOVEMBRE 2024 /
LFI/ pas LFI, NFP/pas NFP, le monde politico-médiatique s’agite en ce moment, en vue des municipales de 2026. Pour nous, élu·es écologistes, le seul guide est d’améliorer la qualité de vie des montpellierain·es, de préparer Montpellier aux chocs du dérèglement climatique. Cet été, un nouveau groupe, conduit par Coralie Mantion, s’est formé au sein du Conseil Municipal, pour dénoncer les politiques publiques menées par Michael Delafosse. Des politiques publiques destructrices pour l’environnement, pour la santé des habitant·es du territoire. En effet, l’exécutif projette entre autres, de détruire 600 hectares de terres agricoles et naturelles, de construire deux incinérateurs, une autoroute de 6 à 10 voies à l’ouest de Montpellier. Dans ce contexte, proposer, pour 2026, une alternative écologiste est indispensable. Une alternative écologique claire qui ne cautionnera pas une politique d’écologie de pacotille et d’affichage. Une alternative écologique claire qui ne jouera pas avec la santé des montpellierain·es. Une alternative écologiste claire contre les projets écocides de l’exécutif. Une position claire contrairement à certains. D’ailleurs, François Vasquez, ancien vice-président en charge des déchets, souligne que la France Insoumise n’a pas éclairci sa position sur la politique d’incinération en ville (deux incinérateurs de plastiques et de boues extrêmement coûteux et polluants) portée par René Revol, maire insoumis. L’objectif de rompre avec 40 ans de frêchisme, 40 ans d’un système devenu de plus en plus droitier, macroniste, ne se limite à un placement sur l’échiquier politique. Nous appelons à construire une large union des écologistes autour d’un grand projet pour Montpellier et sa Métropole. Ce projet écologiste sera notre seul guide, bien loin d’un simple alignement de logos. |