Nous condamnons avec la plus grande fermeté l’agression de Vladimir Poutine sur le territoire ukrainien et demande des réponses fermes à l’égard du Kremlin.
Nous, écologistes, sommes attaché-es à la paix des peuples et au pacifisme. Ce jour restera comme un jour noir dans l’histoire de notre continent.
Depuis ce matin, l’invasion russe de l’Ukraine a débuté. L’Ukraine n’a commis absolument aucune provocation. Cette guerre est une violation du droit international. C’est toute l’Europe qui est menacée.
Nous condamnons fermement cette agression intolérable et apporte son soutien sans faille au peuple ukrainien. L’ensemble des peuples européens doivent afficher leur attachement à la paix sur notre continent et leur solidarité avec les Ukrainien·nes.
Nous ne devons plus rien céder à Vladimir Poutine. Les sanctions européennes contre le régime russe et ses oligarques doivent être à la hauteur de cette agression sans précédent. En particulier les sanctions doivent cibler les avoirs en Europe des oligarques russes et exclure les banques russes du système Swift. Sur les plans énergétique ou économique, nous devons assumer les conséquences d’une réponse ferme à l’agression russe.
Par ailleurs, l’Europe doit apporter un soutien appuyé à l’Ukraine pour lui permettre de se défendre et organiser l’accueil des réfugiés qui quittent les zones de guerre. Nous soutiendrons toutes les initiatives prises en ce sens par l’Union européenne et par la France pour mettre fin au plus vite aux combats. Des décisions rapides s’imposent face à l’emballement des événements.
L’engrenage de la guerre est un retour en arrière terrible pour notre continent. L’inefficacité des efforts de préservation de la paix doit servir de leçon pour la France : n’en déplaise à certaines forces politiques françaises, une Europe forte et unie est notre seule option pour peser face à des dictatures comme celle de Vladimir Poutine.
Plus que jamais les défenseurs de la démocratie et de la liberté en Europe doivent afficher leur unité pour refuser la violence, la guerre et la dictature.